Des opportunités dans l’immobilier à Paris ?
Tout le monde le sait, le marché de l’immobilier a été boosté par la chute vertigineuse des taux d’intérêt permettant, ainsi, au futur acquéreur de devenir propriétaire beaucoup plus facilement. Les grandes villes ont largement profité de cette manne et Paris n’est pas en reste avec une hausse substantielle depuis 2016. La question est qu’en sera-t-il en 2020 ? Est-ce qu’il subsiste encore des opportunités dans l’immobilier à Paris ?
Marché de l’immobilier à Paris
L’immobilier ancien à Paris est nettement plus important que le neuf, 62% contre 18%, ces deux marchés sont attrayants.
Un panel important de studios, de 2 pièces et de 3 pièces est offert aux futurs acheteurs. Ces appartements sont très recherchés au vu de la tendance pécuniaire relativement élevée qui oblige ces derniers à se retourner vers des biens à la surface plus modérée.
Autre précision qui a son importance, les prix peuvent être vraiment dissemblables d’une rue à une autre, d’un boulevard à un autre ou d’un quartier au sein d’un même arrondissement, en fonction de son positionnement à côté d’un lieu plus séduisant.
Bon à savoir, une rénovation importante (23 sites) se prépare à Paris sous l’égide de la Mairie, de bonnes affaires en perspective ?
Prix à la vente à Paris
Paris a ceci de particulier que les prix fluctuent en fonction du quartier, car l’environnement n’est pas le même dans le Ve arrondissement que dans le XIXe et ce n’est qu’un exemple parmi beaucoup d’autres puisque la ville compte 20 arrondissements déroulés sur 105 km² avec 24400 habitants par km². Il faut savoir que plus l’on se rapproche du centre de la capitale (du 1er au 8e arrondissement), plus les prix grimpent, l’ouest également est très prisé et affiche des prix élevés. En revanche la périphérie offre des opportunités de prix corrects pour une ville prestigieuse comme Paris. Le quartier des Champs-Elysées avec sa flamboyante avenue est un cas particulier, il faut compter 14000€ au m².
En fonction, donc, des arrondissements, les prix oscillent entre 7700 € pour les plus bas, 11119 € pour le prix moyen et 14400 € pour les plus hauts avec, bien entendu, des disparités importantes. Si l’on va plus loin, on peut dire que les 1er, 2e, 3e 4e, 5e, 6e, 7e et 8e arrondissement dépassent les 10 000€ le m2, voire plus, tandis que les 12e, 13e, 18e, 19e et 20e s’arrêtent vers les 9 000€ et même avec des tarifs inférieurs pour les 18e, 19e et 20e. Ces prix devraient être plus ou moins les mêmes, car les taux d’emprunt ne devraient pas ou peu bouger au cours ce cette année, du moins, c’est ce qui ressort chez les notaires et autres organismes.